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Les potentiels effets indésirables consécutifs à une cure de photothérapie

Posté par Franck

La luminothérapie est une branche de la photothérapie qui consiste à permettre à des patients ayant des troubles variés de corriger ces derniers grâce aux bienfaits de la lumière. Alternative qui fait de plus en plus d'adeptes, la luminothérapie peut convenir dans de nombreux cas de figure, notamment pour les patients atteints de dépression saisonnière ou encore pour ceux ayant des troubles du sommeil. Si la photothérapie a des avantages indéniables, il est toutefois conseillé de se renseigner sur les contre-indications à la luminothérapie avant de sauter le pas.

Pour certains individus, se lancer dans une cure de luminothérapie peut en effet être déclencheur de possibles effets secondaires. Si ces derniers sont souvent passagers et correspondent à une période d'adaptation, il est important de se renseigner en amont pour éviter toute complication. Des patients ayant des antécédents médicaux relativement lourds peuvent même voir la luminothérapie être proscrite afin de préserver leur santé.

Les effets secondaires de la luminothérapie-1

La luminothérapie, une approche par exposition à la lumière strictement encadrée

Avant toute chose, il convient de préciser que si la luminothérapie a le vent en poupe, cette approche thérapeutique répond à des règles. Il faut en effet savoir que les lampes utilisées dans le cadre de la luminothérapie sont considérées comme des dispositifs médicaux. De ce fait, que ce soit auprès d'organismes proposant des cures de luminothérapie ou lors du choix d'une lampe de luminothérapie pour un usage à domicile, il convient de se renseigner sur le matériel utilisé.

Les appareils de luminothérapie, le choix de véritables dispositifs médicaux

En tant que dispositif médical, pour obtenir son homologation une lampe de luminothérapie doit passer une batterie de tests. Ces derniers visent à s'assurer de la fiabilité du produit afin de préserver les individus qui seront amenés à l'utiliser. Compte tenu de son parcours de validation et des normes auxquelles elle doit répondre, une lampe de luminothérapie doit porter le marquage CE matériel médical. Cette mention n'est autre que la norme européenne qui encadre les dispositifs médicaux.

Pour être plus précis, une lampe de luminothérapie appartient à la catégorie 2a des dispositifs médicaux, soit celle qui correspond aux appareils présentant un risque potentiel modéré. Les catégories classant les dispositifs médicaux étant au nombre de quatre (1, 2a, 2b et 3), les lampes de luminothérapie sont parmi les dispositifs médicaux présentant le moins de risques potentiels. Au niveau de la lumière émise, il est important de préciser que les lampes produisant des lumières à ultraviolets et infrarouges sont néfastes, et donc inadaptées. Pour une thérapie par exposition à la lumière, ces appareils sont donc strictement déconseillés, car ils pourraient être à l'origine de troubles sérieux.

Prévenir tout effet indésirable avec les lampes de luminothérapie

En accord avec les standards imposés par les organismes responsables de produits médicaux commercialisés, les appareils de photothérapie doivent répondre à certains critères. C'est ainsi au niveau de l'intensité lumineuse que la lampe produit, qui s'exprime en lux, qu'il convient d'être attentif. De manière générale, il est ainsi recommandé de porter son choix sur des lampes proposant une intensité lumineuse de plusieurs milliers de lux. Il faut préciser à ce niveau que plus l'intensité lumineuse, et par conséquent la quantité de lux, est élevée, plus la durée d'exposition doit être limitée. Pour une lampe développant 10000 lux, il est notamment conseillé de ne pas dépasser des séances d'exposition de plus de trente minutes.

Outre la durée d'exposition, c'est le positionnement par rapport à la lampe qui est déterminant. Afin d'optimiser l'efficacité d'une séance de luminothérapie, il faut ainsi placer la lampe à hauteur des yeux du patient, de préférence à une distance moyenne de 30 centimètres. Toutefois, il convient de veiller à ce que le patient ne regarde pas directement la source de lumière afin de préserver ses yeux, et notamment la rétine. Au cours d'une séance de photothérapie, il est donc tout à fait possible de s'occuper avec une activité ne nécessitant pas trop de mouvement, comme la lecture, des jeux de lettres type mots fléchés et mots croisés ou encore des jeux de chiffres comme les sudokus.

Les effets secondaires de la luminothérapie-2

Le traitement par luminothérapie et les effets secondaires potentiels

Bien qu'en faisant l'acquisition d'une lampe de luminothérapie homologuée et en suivant les recommandations d'un médecin ou d'un spécialiste, il reste possible que des effets secondaires surviennent. Dans le cadre d'un traitement par exposition à la lumière, qu'il soit prescrit par un médecin ou simplement à l'initiative des patients, la réaction du corps est propre à chacun. Pour beaucoup de personnes, aucun effet indésirable n'est à signaler. Pour d'autres, les effets peuvent être extrêmement légers. Enfin, certains peuvent avoir des effets secondaires plus marqués, et tout simplement mal réagir à ces traitements par photothérapie. Il est alors nécessaire de réagir de manière adaptée selon les cas de figure.

La photothérapie, une approche de médecine douce qui ne convient pas à tous

En s'exposant de manière continue pendant une durée relativement importante, de nombreux sujets peuvent éprouver l'apparition de céphalées, plus communément appelées maux de tête. Ces douleurs peuvent être localisées à divers endroits, mais concernent le plus souvent la région frontale, la nuque ou l'un des côtés de la tête. Il est intéressant de noter que les personnes souffrant de photophobie sont les plus à même de développer ces symptômes, appelées céphalées de tension. Pour ces personnes, la photothérapie n'est donc bien entendu pas indiquée.

Bien qu'il soit recommandé de ne pas regarder directement la source lumineuse, même en vision périphérique la lampe peut avoir un impact sur les yeux. Ainsi, certains patients sont susceptibles de constater une éventuelle sècheresse oculaire. A l'image d'une profession nécessitant de passer de longues heures devant un écran, ce qui implique souvent une fatigue des yeux en fin de journée, la luminothérapie peut conduire à un assèchement de ces derniers. Cette sensation de sècheresse est notamment consécutive à un apport lacrymal insuffisant. Conserver les yeux ouverts empêche en effet la sécrétion du liquide lacrymal et conduit l'oeil à perdre en humidité, ce qui peut s'avérer inconfortable.

Parmi les troubles pouvant être constatés des suites d'une telle thérapie, de possibles nausées sont à évoquer. Cette sensation désagréable est caractéristique de l'état dans lequel se trouvent les individus avant de vomir. Si les nausées ne se concrétisent pas nécessairement, elles placent les sujets dans un inconfort réel.

Luminothérapie, des symptômes le plus souvent passagers et sans réelle incidence

Pour compléter la liste des précédents symptômes évoqués, il est également envisageable que les séances de luminothérapie fatiguent les patients. Qu'il s'agisse de la fatigue ou des autres effets indésirables évoqués, l'ensemble de ces éléments ne sont le plus souvent pas continus. Dans la grande majorité des cas, ces effets secondaires interviennent en effet en début de thérapie et correspondent à une phase d'adaptation du corps face à cette exposition inhabituelle à la lumière.

En cas de troubles persistants, il est néanmoins recommandé de consulter un professionnel de la santé. Le médecin pourra alors conseiller l'arrêt de cette cure ou tout simplement prescrire un traitement afin de mettre fin à ces troubles indésirables.

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