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L'exposition transcrânienne à la lumière infrarouge pour traiter les neurodégénérescences

Posté par Franck

La luminothérapie est l'une des approches médicales les plus en vogue ces dernières années. Les apports de la lumière en médecine sont en effet légion et permettent, grâce à un grand nombre d'études, d'élaborer puis de procéder aux essais cliniques de multiples traitements. Et le moins que l'on puisse dire c'est que les effets de ces derniers sont le plus souvent encourageants. Si chaque pathologie a ses spécificités et nécessite un traitement qui lui est propre, la lumière offre l'avantage de pouvoir s'adapter aux besoins des patients.

Depuis de nombreuses années maintenant, le corps médical peut, grâce aux propriétés de la lumière, intervenir au niveau des problèmes de peau, mais pas seulement. Les affections relatives à l'activité cérébrale peuvent ainsi elles aussi tirer profit de la lumière. Parmi les pathologies de ce type, il est possible de citer la maladie de Parkinson. Certaines découvertes pourraient permettre de mieux gérer cette pathologie, notamment en ayant recours à un traitement par rayons infrarouges.

Bénéficier de la thérapie infrarouge transcrâniale (NILT)-1

Les propriétés de la lumière et ses bienfaits pour la santé

L'étude de la lumière et les essais cliniques visant à démontrer l'intérêt de son utilisation dans un cadre thérapeutique ne datent pas d'hier. Pourtant, ce n'est que depuis peu que la photothérapie connaît un engouement marqué en France. Cela se constate notamment à travers l'utilisation de plus en plus fréquente de lampe de luminothérapie directement au domicile de certains patients.

Certes, la thérapie par exposition à la lumière offre l'avantage de pouvoir réaliser des séances depuis chez soi. Pour cela, il suffit en effet de s'équiper d'une lampe de luminothérapie dont l'intensité lumineuse s'élève à 10000 lux maximum. Au-delà de l'aspect pratique, c'est toutefois bel et bien pour ses effets positifs sur le corps que la luminothérapie constate une augmentation de ses adeptes.

La photothérapie, un traitement pour divers troubles

Le recours à un système de luminothérapie (lampe, masque ou cabine) peut être pertinent, sauf contre-indication, pour les sujets souffrant de symptômes tels que :

  • l'augmentation des troubles du sommeil, à l'image d'insomnies s'inscrivant dans la durée et favorisant l'accumulation de fatigue;
  • le dérèglement du cycle circadien, aussi appelé horloge biologique, en raison d'un emploi de nuit;
  • le développement d'une forme de dépression et une baisse de motivation.

Ces différents éléments peuvent tout simplement être les conséquences d'un manque de soleil, notamment en automne et en hiver, et correspondre à un état de dépression saisonnière. Pour des symptômes de ce type, un traitement par photothérapie peut se faire :

  • en institut de bien-être ou à domicile;
  • avec des séances d'une durée moyenne de trente minutes;
  • à une fréquence quotidienne, pendant une à plusieurs semaines selon les patients;
  • en utilisant une lampe d'une intensité lumineuse de minimum 2000 lux.

Si l'épisode de dépression saisonnière est courant en France, d'autres pathologies peuvent également bénéficier des bienfaits de la lumière. C'est le cas de la maladie de Parkinson. Bien que les effets positifs de la luminothérapie pour les patients atteints de Parkinson se constatent sur divers cas cliniques, la recherche a permis de mettre en évidence une autre façon de traiter cette pathologie neurodégénérative. Le recours aux rayons infrarouges serait ainsi lui aussi un traitement prometteur.

Rayons ultraviolets ou infrarouges, une question de longueur d'onde

Dans le domaine de la photothérapie, la question de la longueur d'onde est primordiale. C'est en effet ce qui différencie les ondes lumineuses monochromatiques. L'étude des rayons lumineux et les essais cliniques réalisés ont permis d'établir que l'impact positif ou négatif de la lumière sur la santé dépend en partie de :

  • la longueur d'onde des rayons lumineux;
  • la durée d'exposition à ces derniers;
  • leur concentration.

A titre d'exemple, la PUVA-thérapie, qui permet de corriger certains troubles de la peau, repose sur l'utilisation de rayons ultraviolets. Cette approche est notamment utilisée dans le traitement du vitiligo, affection cutanée qui se caractérise par l'apparition d'une tache blanche là où les mélanocytes, en charge de la pigmentation, disparaissent.

Avec la PUVA-thérapie, la stimulation des mélanocytes restants peut se fait par exposition à des ultraviolets A, à savoir des rayons d'une longueur d'onde de 315 à 400 nanomètres. Dans le cadre d'une thérapie utilisant les UVB, ce sont alors des ultraviolets d'une longueur d'onde de 280 à 315 nanomètres qui sont utilisés. De manière générale, les ultraviolets englobent par définition l'ensemble des rayons lumineux ayant une longueur d'onde inférieure à 400 nanomètres.

A la différence des UV, les infrarouges se caractérisent par une longueur d'onde supérieure à 800 nanomètres. Les infrarouges sont donc des rayons lumineux ayant une longueur d'onde plus élevée que celle du rouge. Le traitement par infrarouge proche peut d'ailleurs s'avérer pertinent dans le cadre du traitement de la maladie de Parkinson.

Bénéficier de la thérapie infrarouge transcrâniale (NILT)-2

L'exposition infrarouge transcrânienne pour les victimes d'AVC et malades de Parkinson

Les études visant à mettre en place un traitement pour les sujets atteints de Parkinson continuent d'avancer. Une étude part du postulat que le recours à des infrarouges proches pourrait permettre une nouvelle avancée. Alors que les sujets touchés par cette neurodégénérescence ne peuvent dans le meilleur des cas que limiter l'avancée de la pathologie avec les traitements actuels, les infrarouges pourraient changer la donne.

Une thérapie par exposition à infrarouge proche transcrânienne

La maladie de Parkinson se caractérise par la dégénérescence de cellules nerveuses, notamment dopaminergiques, qui sont responsables de la communication dans le système nerveux. Au fur et à mesure que l'affection évolue, la quantité de cellules dopaminergiques s'amenuise drastiquement. Or, en l'absence de dopamine, les muscles sont susceptibles de se raidir, donner lieu à une vive douleur et conduire à la perte de mobilité des sujets. Au-delà de l'impact de la maladie sur leur cerveau, les malades constatent ainsi le poids de la maladie sur leur bien-être physique.

Exposer les cellules nerveuses à une lumière infrarouge proche aurait toutefois des effets positifs. Il serait en effet possible de réduire de manière significative l'avancée de la maladie en stimulant les cellules nerveuses par infrarouges proches. Avec une prise en charge de la maladie relativement tôt, les malades pourraient ainsi voir leur confort être préservé plus longtemps et les symptômes être maîtrisés.

La thérapie infrarouge transcrânienne, une possible application dans le traitement d'AVC

Outre le traitement de symptômes pour les personnes touchées par la maladie de Parkinson, les effets de la thérapie par stimulation de régions du cerveau au moyen d'infrarouges proches peuvent être bénéfiques aux personnes victimes d'accidents vasculaires cérébraux. De la même manière que l'approche par stimulation magnétique transcrânienne, la thérapie infrarouge transcrânienne s'impose parmi les alternatives non invasives.

A travers ces approches, l'objectif est de favoriser la stimulation des différentes régions du cerveau pour maintenir l'activité cérébrale et limiter l'avancée de la maladie ou les conséquences d'un accident vasculaire cérébral.

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